Le blog de Frédéric LEGAY

Nous ne pouvons pas nous empêcher de penser avant de nous souhaiter une bonne année 2016, à ces actes barbares qui ont frappé le territoire national durant l’année 2015. Au nom d’une idéologie, des fanatiques ont semé la violence, la terreur, le deuil, pour des familles dont les enfants ont été assassinés parce qu’ils voulaient vivre tout simplement. Nous devons tous ensemble, dénoncer toutes formes d’idéologie et laisser la place au partage des idées.

L’équipe du groupe « Avec vous, pour Escalquens » vous adresse ses vœux les plus chaleureux et plus sincères, de santé, de bonheur et de réussite pour cette nouvelle année. Nous espérons une année 2016, inscrite sous le signe de la construction avec la majorité en place. Que les échanges parfois houleux, comme ceux concernant le déclassement des espaces vert ou le déplacement du monument aux morts, puissent s’enrichir de débats démocratiques pour avancer vers l’avenir de notre commune.

Bonne année à tous,

Frédéric LEGAY

A l’heure où la nation est à l’unisson et non à la discorde, Monsieur le Maire Alain SERIEYS continue la politique quelles que soient les circonstances.

En effet, dimanche 11 janvier, lors des vœux à la population d’Escalquens. Monsieur le Maire nous a de nouveau montré, à cette occasion, combien son esprit partisan l’emportait sur son esprit républicain.

Dans son discours il n’était en effet question que de polémique politicienne. Nos positions sur les différents dossiers communaux étaient systématiquement caricaturées, tandis que son action était constamment mise en valeur. Au passage, nous étions implicitement taxés de divers qualificatifs peu élogieux, qui insistaient sur une supposée incompétence de notre part et qui exprimaient surtout le mépris dans lequel nous sommes tenus.

Mais le comble du sectarisme n’est pas là. Parmi les personnalités invitées à s’exprimer par  Monsieur le Maire figurait en effet le candidat du parti socialiste aux élections cantonales. Il nous a semblé peu respectueux des Escalquinois de détourner la cérémonie des vœux qui leur étaient adressés en réunion politicienne. Mais au-delà, cette invitation est bien peu républicaine : pourquoi inviter un seul candidat, celui du même parti que le maire, et pas les autres ?  

On voit bien dans quel système les Escalquinois sont entraînés malgré eux : celui d’un système de parti, politicien et partisan, prêt à tout pour gagner des postes et conserver le pouvoir.